"Femme, grande est ta foi, que tout se passe pour toi comme tu le veux!» Et, à l’heure même, sa fille fut guérie". Mt 15, 28 | Flickr/Lawrence OP/CC BY-NC-ND 2.0
La «vague violette» du 14 juin 2019 ne s’est pas arrêtée aux portes de l’Eglise. Et au cours des douze derniers mois, les revendications d’égalité se sont intensifiées au sein de l’institution. Depuis, les nominations à des postes de responsabilité se sont succédé en Suisse comme dans le monde entier.
Qu’est-ce que signifie pour ces femmes «exercer le pouvoir» en Eglise? Quelles marges de manœuvres effectives ont-elles? Quels défis rencontrent-elles dans l’exercice de ces différentes formes de pouvoir ecclésial?
Cette série vous propose un entretien avec cinq femmes qui, par leurs responsabilités, jouent un rôle pionnier dans l’Eglise catholique en Suisse.
Cette série vous propose un entretien avec cinq femmes qui, par leura responsabilités, jouent un rôle de pionnier dans l’Eglise catholique dans notre pays. Astrid Kaptijn, professeure ordinaire de droit canon à la Faculté de théologie de l’Université de Fribourg, en donnera l’épilogue. Le 14 septembre 2019 elle a été nommée par le pape François, consulteur de la Congrégation pour les Eglises Orientales, au Vatican.