Fête de sainte Léonie le 10 janvier à Soyhières
L’enfant au cœur des festivités
Le 10 janvier, comme tous les ans depuis 2002, la communauté des sœurs oblates de Saint-François de Sales organise une fête dédiée à sainte Léonie, fondatrice de sa congrégation. Jeudi dernier, c’est Mgr Felix Gmür qui a accepté de marquer de sa présence cette soirée. Avant de présider la traditionnelle messe dans une église comble, l’évêque du diocèse de Bâle a procédé à la bénédiction des nouveaux locaux de la garderie d’enfants Sainte-Léonie.
«La bénédiction d’un lieu concerne toujours un groupe de personnes et aujourd’hui je suis vraiment très heureux que ce groupe soit essentiellement composé d’enfants.» A plusieurs reprises, Mgr Felix Gmür va s’accroupir au milieu des gosses – accompagnés de leurs parents – venus l’accueillir dans les nouveaux locaux de la Garderie Sainte-Léonie à Soyhières. « Comme Jésus vous êtes les plus petits dans la crèche, mais comme lui vous êtes aussi les êtres les plus importants dans cette crèche. » Après un temps d’échanges, un chant et la remise d’une collection de dessins, l’évêque a solennellement béni les lieux en prenant soins de passer dans toutes les pièces du foyer.
Plus tard, c’est dans une église pleine à craquer que Mgr Felix Gmür a rendu hommage à sainte Léonie, la fondatrice de la communauté des sœurs oblates de Saint-François de Sales : « Chacun et chacune a été élevé selon un modèle. Ici, à la garderie de Soyhières, il est rassurant de savoir que les enfants seront élevés selon le modèle des sœurs, de sainte Léonie. C’est parce qu’elle était simple, qu’elle a fait preuve d’une charité constante et qu’elle s’est toujours tournée vers les autres, que sœur Léonie Françoise de Sales Aviat est devenue sainte. »
Dans son homélie, l’évêque de Bâle évoquera encore la place de l’enfant aujourd’hui à travers l’évangile selon saint Matthieu : « Jésus dit que celui qui se fera petit comme un enfant sera le plus grand dans le Royaume des cieux. A l’époque où ce texte a été rédigé l’enfant était comme un objet. Les petits ne mangeaient pas avec les adultes. Mais Jésus change l’image de l’enfant : l’objet devient sujet. »
Au terme de la célébration, Mgr Felix Gmür bénira encore une croix sculptée dans le bois d’un thuya plus que centenaire qui s’érigeait dans le parc où la nouvelle garderie a été construite. « Ce superbe crucifix ornera maintenant nos nouveaux locaux », dira avec émotion sœur Thérèse-Marguerite Notter, la directrice de la Maison Chappuis à Soyhières.
Pour clôturer la fête (la 11e depuis la canonisation de Léonie Aviat en 2001 par le pape Jean-Paul II), tous les participants ont été invités à se rendre à la salle de gymnastique toute proche où les sœurs (aidées par les élèves pensionnaires de la Maison Chappuis et des dames de la paroisse du village) avaient préparé un copieux apéro dinatoire. Mgr Felix Gmür profitera de ce moment convivial pour prendre un bain de foule et échanger quelques mots avec chacun.
Le 10 janvier, comme tous les ans depuis 2002, la communauté des sœurs oblates de Saint-François de Sales organise une fête dédiée à sainte Léonie, fondatrice de sa congrégation. Jeudi dernier, c’est Mgr Felix Gmür qui a accepté de marquer de sa présence cette soirée. Avant de présider la traditionnelle messe dans une église comble, l’évêque du diocèse de Bâle a procédé à la bénédiction des nouveaux locaux de la garderie d’enfants Sainte-Léonie.
Plus tard, c’est dans une église pleine à craquer que Mgr Felix Gmür a rendu hommage à sainte Léonie, la fondatrice de la communauté des sœurs oblates de Saint-François de Sales : « Chacun et chacune a été élevé selon un modèle. Ici, à la garderie de Soyhières, il est rassurant de savoir que les enfants seront élevés selon le modèle des sœurs, de sainte Léonie. C’est parce qu’elle était simple, qu’elle a fait preuve d’une charité constante et qu’elle s’est toujours tournée vers les autres, que sœur Léonie Françoise de Sales Aviat est devenue sainte. »
Dans son homélie, l’évêque de Bâle évoquera encore la place de l’enfant aujourd’hui à travers l’évangile selon saint Matthieu : « Jésus dit que celui qui se fera petit comme un enfant sera le plus grand dans le Royaume des cieux. A l’époque où ce texte a été rédigé l’enfant était comme un objet. Les petits ne mangeaient pas avec les adultes. Mais Jésus change l’image de l’enfant : l’objet devient sujet. »
Pour clôturer la fête (la 11e depuis la canonisation de Léonie Aviat en 2001 par le pape Jean-Paul II), tous les participants ont été invités à se rendre à la salle de gymnastique toute proche où les sœurs (aidées par les élèves pensionnaires de la Maison Chappuis et des dames de la paroisse du village) avaient préparé un copieux apéro dinatoire. Mgr Felix Gmür profitera de ce moment convivial pour prendre un bain de foule et échanger quelques mots avec chacun.
Le 10 janvier, comme tous les ans depuis 2002, la communauté des sœurs oblates de Saint-François de Sales organise une fête dédiée à sainte Léonie, fondatrice de sa congrégation. Jeudi dernier, c’est Mgr Felix Gmür qui a accepté de marquer de sa présence cette soirée. Avant de présider la traditionnelle messe dans une église comble, l’évêque du diocèse de Bâle a procédé à la bénédiction des nouveaux locaux de la garderie d’enfants Sainte-Léonie.
Plus tard, c’est dans une église pleine à craquer que Mgr Felix Gmür a rendu hommage à sainte Léonie, la fondatrice de la communauté des sœurs oblates de Saint-François de Sales : « Chacun et chacune a été élevé selon un modèle. Ici, à la garderie de Soyhières, il est rassurant de savoir que les enfants seront élevés selon le modèle des sœurs, de sainte Léonie. C’est parce qu’elle était simple, qu’elle a fait preuve d’une charité constante et qu’elle s’est toujours tournée vers les autres, que sœur Léonie Françoise de Sales Aviat est devenue sainte. »
Dans son homélie, l’évêque de Bâle évoquera encore la place de l’enfant aujourd’hui à travers l’évangile selon saint Matthieu : « Jésus dit que celui qui se fera petit comme un enfant sera le plus grand dans le Royaume des cieux. A l’époque où ce texte a été rédigé l’enfant était comme un objet. Les petits ne mangeaient pas avec les adultes. Mais Jésus change l’image de l’enfant : l’objet devient sujet. »
Pour clôturer la fête (la 11e depuis la canonisation de Léonie Aviat en 2001 par le pape Jean-Paul II), tous les participants ont été invités à se rendre à la salle de gymnastique toute proche où les sœurs (aidées par les élèves pensionnaires de la Maison Chappuis et des dames de la paroisse du village) avaient préparé un copieux apéro dinatoire. Mgr Felix Gmür profitera de ce moment convivial pour prendre un bain de foule et échanger quelques mots avec chacun.
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